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-- 1er au 13 juillet 2011 -- |
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Escale prolongée à Kersolff en Bretagne sud afin de terminer notre préparation et de fêter notre départ en famille.
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La maison de la famille de Camille, notre périmètre de ces 15 jours. Le compteur reste bloqué à 1245 miles depuis le départ.
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Du 1er au 6 juillet 2011 : ultimes préparatifs
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Nous voilà arrivés à Concarneau, notre port d’attache pour les derniers jours avant le départ. Entre quelques bricolages divers (changement d’un taquet, vérification du gréement en haut du mât, nettoyage du circuit d’injection moteur etc.) des amis viennent profiter du beau temps breton pour une petite balade en baie de la Forêt.
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Mais assez paressé, il est temps d’entrer dans le vif du sujet : nous vidons le bateau de tout ce que nous ne jugeons pas utile d’emporter pour le grand voyage : guides et cartes d’Europe du Nord, pare-battages en fin de vie, et surtout les béquilles du bateau qui nous prennent beaucoup de place pour une utilisation limitée.
Un voyage pour stocker tout cela chez les parents de Camille, et nous repartons à bord avec d’autres affaires bien plus utiles : 20m de chaine supplémentaires, pulvérisateur d’eau qui fera office de douche, crochet à poissons, diable pliant, savon qui mousse à l’eau de mer, cartes et guides des Antilles… Et bien sûr une bonne cargaison de boites de conserves estampillées « gastronomie française »!
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4 caddies de marchandises à ranger dans le bateau... mais comment va-t-on faire rentrer tout ça ?
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En fait tout tient dans les équipets !
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Opération cartes : la routière des Antilles est nécessaire pour savoir ranger les cartes de détails dans le bon ordre...
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Nous préparons également notre « grab bag » de survie : un sac à attraper en cas de gros gros problème et qui contient tout le nécessaire d’urgence. En fait nous avons un bidon étanche contenant de l’eau, des fusées, une trousse médicale, notre balise de détresse, un GPS et une VHF portable, une ligne de pèche et une boite de moules pour appâter, un éponge, un kit de réparation du radeau, une lampe étanche, des piles de rechange, nos passeports, quelques dollars, un sifflet, des lunettes de natation et notre téléphone satellite Iridium ; et un autre sac contenant essentiellement de la nourriture (plats auto-chauffants, gel et barres pour sportifs, biscuits bien denses etc) et une ancre flottante complète. En cas d’évacuation, Camille s’occupe de mettre le radeau de survie à l’eau et de prendre les jerrycans d’eau rangés dans le cockpit, et Laure attrape les 2 bidons de survie et le livre de bord. On espère toutefois en rester à la théorie...
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Saltimbanque est prêt, à bientôt le grand départ…
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A la fin de l’avitaillement, c’est près de 300 litres d’eau et environ 30kgs de nourriture que nous stockons dans Saltimbanque… qui accuse à présent une petite inclinaison sur bâbord et s’est enfoncé de quelques centimètres. Notre autonomie est au prix de quelques dixièmes de nœuds ! Nous voilà donc prêts à partir...
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Du 7 au 11 juillet 2011 : fête de départ
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Une fois le bateau préparé, nous le laissons au ponton de Concarneau et posons notre sac pour quelques jours à terre, à Kersolff. Les parents de Laure sont venus de Bordeaux louer une maison dans la région pour l’occasion et les parents de Camille préparent le jardin pour qu’on y dîne à 28 !
Samedi après-midi, c’est journée portes-ouvertes sur Saltimbanque où nous embarquerons jusqu’à 11 personnes d’un coup... le bateau s’enfonce encore un peu plus !
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Le père de Camille et les copains sur Saltimbanque
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Certains trouvent le bateau un peu bas de plafond !
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Le samedi soir, dîner sous la tente spécialement installée dans le jardin des parents de Camille.
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Décoration de table et de tente, ambiance «Bretagne »
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Gâteau au chocolat, ambiance « comme si vous y étiez »
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Tout cela se termine très tard, arrosé de champagne, bordeaux, et alcools du monde entier ramenés de nos diverses pérégrinations de ces dernières années (Aquavit Norvégien, Mao Tai chinois etc .)
Dimanche baignade pour les plus motivés, puis barbecue géant dans le jardin.
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En attendant que le feu veuille bien prendre
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Tous nos convives à table
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Un grand merci à nos parents pour l’organisation et à nos familles et amis d’avoir fait le déplacement !
Après ces quelques jours de bonne chère, chacun reprend le cours de ses activités normales, et commençons à lorgner les cartes météo d’un œil attentif... Ça ne semble pas très bon dans les jours à venir pour partir, à suivre...
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